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[DONE] Pour que ce jour compte. (Yulian)

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Askel O'Hara
Agence.

Askel O'Hara


Feat : Emily Rudd.
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Tu as toujours été admirative des gens qui prennent des risques, dans leur vie, pour venir en aide aux autres, et pour changer les choses, aussi, en quelques sortes. C’est une chose qu’on ne retirera pas, et c’est surtout une chose qui te rend un peu envieuse, il faut l’avouer. Toi, Askel, tu as ce pouvoir. Quand tu étais dans le besoin, il t’a permise d’être éligible pour obtenir l’aide de l’Agence, et tu sais à quel point ils ont été bons, avec toi. Ces gens t’ont poussée vers le haut, et t’ont permise d’avoir une situation, qui, certes, n’est probablement pas celle que l’on envie le plus au monde, mais qui est loin d’être la pire. Tu aimerais savoir leur rendre la pareille. Tu essaies. Mais c’est comme ça, Askel, si on continue de t’encourager, et de te dire à quel point, quand tu sauras, tout te paraîtra bien plus simple, tu n’y arrives pas, ton pouvoir reste une capacité … aussi inutile qu’elle peut s’avérer gênante, parfois. Tu ne le contrôles même pas, c’est directement lié à tes émotions, et tout ce que tu apportes, c’est la pluie. Pas très utile, pour botter les fesses des méchants, tu vois. Tu n’es ni Shadow, ni Delta, pour ne citer qu’eux, qui, eux, au moins, sont respectés, et admirés, parce qu’ils sont forts, parce qu’ils réussissent ce qu’ils entreprennent, parce qu’on sait, qu’on peut compter sur eux, pour gérer les choses. Toi, à côté, tu as l’air d’un petit parasite, tu as pris, et tu es bien incapable de rendre. Alors, oui. Tu admires ça. De ce que tu en sais, pour l’instant, tu as un homme face à toi, dépourvu de pouvoir – ou alors tu l’ignores – et qui pourtant, fait bien plus que toi.

Tu continues d’engloutir ton repas, comme une véritable affamée, sans plus y penser plus que ça. La petite finit par réclamer de jouer, et elle s’éloigne pour aller s’amuser sur l’aire de jeux. Si tu la suis du regard un instant, tu finis par revenir à son père, en lui souriant. « Mh, je vois ce que tu veux dire. » Laisser faire les autres, c’est surtout à ce sujet que tu comprends, parce que, c’est exactement ce que tu fais. Ce n’est pas toi, Askel, qui pourrait casser les dents aux quelques membres d’un gang pour les empêcher de dealer dans un quartier. Pas toi non plus qui pourrait te retrouver dans une fusillade et gérer les choses sans prendre une balle. « Je pense tout l’inverse. » Que tu finis par lâcher, en délaissant à nouveau ton repas, pour venir essuyer tes doigts avec une serviette en papier, et finalement, venir boire un peu de ton soda. « Tu aimes ta fille, et tu te bats pour qu’elle puisse grandir sereinement. Certaines personnes ne comprennent pas que parfois, il faut ratisser plus large qu’à l’échelle de sa propre existence. » Parce que, cette ville pourrit de plus en plus, et tu le sais, et tu le vois, et tu entends bien des mutants en parler, à l’Agence. Les gangs pullulent, grossissent. Les criminels semblent affluer à Charney. Les mutants sont chassés, en plus d’être persécutés. Ici, ce n’est pas sûre, mais, c’est ta ville, tu vois, et tu ne la quitteras pas. Tu te dis juste, en fait, que ce papa prépare l’avenir de son enfant, et tu trouves ça … beau.

Il s’ouvre. Il te dit soudainement des choses plus personnelles. Tu apprends ainsi que ce n’est pas réellement sa fille, qu’il l’a adoptée … et ça te touches si fort, ce qu’il te dit. Parce que, ça crève les yeux qu’il aime cette petite fille, et s’il ne partage pas une goutte de sang, toi, quand tu les regardes, tu vois bel et bien une enfant et son père. « Yulian … » Sans y penser, tu viens chercher sa main, au-dessus de la table, pour la serrer entre tes doigts, tout doucement, et si tu cherches son regard, tu finis par sourire adorablement. « Tu es son héros, en plus d’être son papa. Un super papa. Personne ne fera probablement jamais aussi bien que toi, et quand elle sera en âge de le te le dire, je suis certaine qu’elle le fera. » Parce que, tu es persuadée de ne pas te tromper. « Tu es quelqu’un de gentil et de courageux, de ce que j’ai vu de toi pour le moment, un papa adorable, patient et rempli d’amour à distribuer. C’est tout ce dont un enfant à besoin pour bien grandir. » Et tu ne lâches plus ses yeux, quand tu parviens à les attraper, de même que tes doigts gardent les siens prisonniers sur la table.

Yulian E. Strauss
FBI.

Yulian E. Strauss


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C’est quand même impressionnant, Yulian, qu’un homme tel que toi, à ton âge et avec la force de caractère qu’il te faut déployer dans ton boulot, tu sois si sensible face à ce sujet du regard des autres sur ta fille… ou sur toi, plutôt. Ça en dit long aussi de la manière dont tu es prêt à te dévouer pour cette enfant. Dans ta famille, il n’y a jamais eu d’histoire de lien par le sang. Oui, vous êtes tous des mêmes parents, mais votre force réside dans votre amour des autres, plutôt quand dans cet héritage génétique que vous partagez. Un jour, tu espères pouvoir le faire comprendre à Lysbeth.

Avant ça, il te faut passer l’épreuve effrayante de le dire aux autres. Et tu l’as déjà dit, mais les choses sont toujours aux extrêmes. Soit on te comprend et on te supporte, soit on vient te faire des remarques qui fragilisent considérablement ton âme. C’est bien pour cela que, devant Askel, tu y vas lentement. Tu ne lui mens pas, tu ne cherches même pas à amoindrir la vérité, mais tu ne peux pas t’empêcher d’y aller par étape. D’abord le souci avec l’autre nourrice. Puis ensuite les véritables liens entre ta fille et toi. Un jour, tu seras peut-être capable de lui dire les circonstances de sa naissance, qui sait.

« Je… Je… Ah, et bien elle vient visiblement de rentrer dans la 1re catégorie des gens qui te comprennent, et ça te touche en plein coeur, Yulian. C’est comme ça que je vois les choses. Je suis… Tu souffles. Honnêtement, je suis soulagé de t’entendre dire ça. »

Et tu vois, tu continues, tu en viens à Lysbeth, qui joue dans pas loin, et à ce sang que vous ne partagez pas. Tu te dis que c’est important qu’Askel le sache, si elle côtoie la petite. Encore plus que tu lui confieras le dossier de la petite en cas d’urgence médicale, avec ses antécédents et ceux de ses parents connus.

Sa main vient happer la tienne, doucement, alors que ton prénom se fait entendre. Tu forces sur tes lèvres pour sourire, comme si tout cela ne te remuait pas en dedans. Tu pourrais pleurer, mais elle attrape tes prunelles sombres de ses yeux si clairs et tu te retrouves loin de tout ça. Il n’y a que sa voix et le bleu de ses yeux. Et quand tu parviens à revenir à la réalité, c’est pour venir entremêler tes doigts aux siens, inconsciemment.

« Merci. »

Juste ça. Parce qu’il y a toujours des gens pour te dire le mal, pour te rappeler tes tords, mais on ne pense pas assez souvent à dire le bien, à offrir les bonnes choses. C’est dans la nature humaine, après tout, de se souvenir de ce qui blesse. Là, pourtant, sans le vouloir, la jolie brune vient colmater un peu de ce doute qui te fait pleurer nuit après nuit et tu arrives enfin à ouvrir à nouveau les lèvres.

« Tu es une personne admirable, Askel. Je suis vraiment content si tu peux t’occuper de Lizzie, je sais qu’elle ne pourra recevoir que de belles choses de toi. Et si ton pouce caresse encore sa main quelques instants, tu finis par la relâcher, pour ne pas paraître… trop engageant, avant de revenir attraper maladroitement une fritte refroidie. J’espère être le père que tu vois en moi. C’est… mon seul objectif, alors si je peux l’atteindre, je me sentirai soulagé et rassuré. »

C’est la voix de Lizzie, qui appelle ‘papa’ et ‘akel’ (c’est mal barré pour dire proprement son prénom visiblement) à coup de grand mouvement de main. Un baiser souffler depuis tes doigts, la petite se remet à rire et disparaît en jouant. Toi, tu finis par soupirer, relâcher tes émotions et quand tu ramènes tes yeux sur la jeune femme, tu as… peut-être changé de regard ? Ouais, peut-être un peu.

« Je suis content d’avoir fait ta rencontre… j’espère que je pourrai apprendre à te connaitre. Aucun sous-entendu, même si ça pouvait sembler. Tu finis par hésiter un instant, réfléchir et tu viens lui faire une drôle de proposition. Tu voudrais que je passe te chercher quand je peux à la sortie de ce restaurant, pour t’éviter les soucis avec cet homme ? Tes yeux reviennent la scruter, glisser sur ses épaules et le long de ses bras. Tu… as des notions d’autodéfense ? »
Askel O'Hara
Agence.

Askel O'Hara


Feat : Emily Rudd.
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Franchement, Askel, tu ne comprendras pour ainsi dire jamais les gens qui se sentent obligé de ramener une science – qu’ils n’ont même pas – rien pour insinuer le doute, ou les questionnements dans l’esprit de ceux qui ne le méritent pas le moins du monde. C’est triste. Et en vérité, c’est même rageant, de ton propre point de vue, parce que, bon sang, tu as rarement rencontré des personnes aussi gentilles, et dévouées que peux l’être Yulian. C’est presque effrayant, cette douceur, qui se dégage de lui, alors que derrière, tu peux entrevoir sa force de caractère. Toi, tu ne vois qu’un homme, un père qui essaie d’améliorer les choses à son échelle, et si tout le monde avait le courage de faire ça bon sang … Même toi, tu ne le fais pas, alors que toi, tu as ce pouvoir en toi. Un pouvoir que tu n’arrives même pas à utiliser pour en faire quelque chose qui en vaille la peine.

« Mh. » Et tu te rends compte, un peu trop tard, que tu as peut-être été trop franche, que tu as probablement été bien trop loin dans tes propos. Tu t’es enflammée, ça t’arrive, parfois, rarement, mais tout de même. Dans ces moments-là, tu oublies bêtement de modérer tes propos ainsi que tes gestes. « C’était … tout ça pour dire que tu n’aurais pas ce genre de problèmes avec moi. » Tu remarques à peine que ses doigts ont bougés, pour venir se mêler aux siens, en réalité. Tu ne bouges pas, tu laisses vos mains liées sur la table du restaurant, et surtout, tu soutiens son regard sombre autant qu’il soutient le tien. En fait, tu ne te rends compte des choses que lorsqu’il se remet à parler, et tes yeux se posent sur vos mains, et ton attention est happée par son pouce, qui caresse doucement ta peau. « C’est … Non, c’est juste tout naturel. » Pas du tout. Enfin, si, mais seulement pour toi, et ça, tu as bien trop tendance à l’oublier, ma grande. « Tu l’es déjà, c’est juste que tu ne le vois pas. »

Et c’est la petite fille qui vient mettre un terme à tout ça, en vous appelant tous les deux, de sa toute petite voix chantante et adorable. Tu te tournes, pour l’observer, et lui faire signe alors qu’elle est en plein jeu, et puis, avec un sourire qui est resté accroché à tes lèvres, tu en reviens à Yulian. « Et bien, je suppose qu’on en aura l’occasion, si tout continue de bien se passer. » Encore une fois, tu n’es pas fermée au fait d’apprendre à connaître les autres, ça passe, ou ça casse, si Yulian est voué à devenir plus proche de toi, et bien, soit, tu l’accepteras avec grand plaisir. « Je … » Et encore une fois, il te prend de court. Tu as déjà refusé une fois, qu’il vienne te chercher, tu as bien vu ce qui s’est passé. « Je ne voudrais pas que tu t’en sentes obligé … » Toujours cette attitude, habituelle chez toi. Tu as toujours peur de gêner, ou de déranger. D’être un poids que les autres n’ont clairement pas demander à porter. « Mais si tu le veux … je ne dis pas non. » Tu te dis que le fait de voir l’agent du FBI venir te récupérer après ton travail dissuadera sans doute ton collègue de trop t’approcher, et si tu as un peu l’impression de profiter de son statut, c’est aussi quelque chose qui te rassure, tu ne vas pas te mentir là-dessus. « Pas vraiment. » Disons que tu as des notions, apprises à l’Agence, mais que ce n’est pas grand-chose, et puisque tu te refuses à parler de l’Agence, et à ton appartenance pour cette organisation si contestée, tu préfères rester vague. « Pourquoi ça ? Tu penses que je devrais prendre des cours ? Je connais quelques personnes qui sont plutôt doués dans ces choses-là, je peux toujours … essayer de poser la question. Pourquoi pas. » Ouais, des combattants de l’Agence. Encore une fois. On t’as d’ailleurs parler de te mettre en relation avec une personne qui pourrait t’aider à devenir plus fort, et t’apprendre à utiliser ton pouvoir … Tu as plutôt hâte d’y être.

Yulian E. Strauss
FBI.

Yulian E. Strauss


Feat : Joseph Gordon-Levitt.
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Ça te soulage, c’est fou quand même. Parce qu'elle ne réagit pas abruptement à tout ce que tu lui dis. Tu vois, tu aimes rencontrer des gens, tu aimes apprendre à les connaître, mais par-dessus tout, Yulian, tu aimes t’entourer des bonnes personnes. C’est quelque chose que vous partagez dans votre famille, et avec le temps et l’âge, tu as appris à reconnaître qui est une bonne personne et qui ne l’est pas. Tu n’as pas besoin de passer cette jolie brune au détecteur de mensonges pour savoir qu’elle fait partie des bons. Et ça te touche d’autant plus, oui.

« Et bien… j’espère finir par me voir avec tes yeux, alors. »

Voilà une jolie conclusion à cette discussion étrange, qui aurait pu être bien plus houleuse, mais qui se finit sur une jolie note. Tes yeux, se sont déjà décrochés d’elle pour sourire à l’enfant et répondre à ses gestes d’une manière si naturelle que tu sais que c’est ce qui fait que l’on pense Lysbeth comme ta véritable fille. C’est ce qui te fait dire, souvent, qu’elle est celle que tu attendais.

Quand tu ramènes ton attention à Askel, c’est pour finir par reprendre la parole. Tu es franc, ça l’a toujours été, et visiblement, la brune commence à s’y faire, parce qu’elle n’est pas surprise de ton affirmation sur ton plaisir d’apprendre la la connaître. Même sa réponse te tire un plus beau, plus grand sourire.

« J’en suis certain. Si le destin ne veut pas se charger de nous faire discuter, je me porterai volontaire pour le provoquer ! »

Tu ris un peu, parce que cette fois-ci, tu te rends compte que tu pourrais peut-être être mécompris. Pourtant, encore une fois, tu sais aussi l'honnêteté de tes sentiments et émotions, et tu ne viendras jamais chercher à avoir quelque chose qu’on n’a pas envie de te donner. Tu vois, même quand tu lui parles de venir la chercher, de lui éviter au maximum de rester seule, en contact avec ce type, tu ne forces en rien. Tu sais que ce serait probablement au mieux, mais si elle refuse, tu n’iras jamais contre sa volonté.

« Faisons quelque chose, toi et moi Askel. J’arrête de m’excuser pour à peu près tout, je sais que c’est l’un de mes travers. Toi, entends que si je propose quelque chose, c’est toujours que j’en ai envie. Tu lui offres un grand sourire. Du coup, envoie-moi un sms avec les jours et tes horaires où tu finis ce travail, et je passerai. Si un jour je suis bloqué, je te préviendrai en avance, c’est promis. »

Tu es mine de rien plutôt content qu’elle veuille bien de ton aide. Pour toi, ça veut dire beaucoup et pour une personne que tu as récemment rencontré, c’est une bonne nouvelle ! Tes pensées se mettent à vagabonder, et quand tu en viens sur l'autodéfense, sa réponse ne t'étonne pas vraiment. Tu ne sais pas vraiment pourquoi, mais rares sont les personnes qui ont appris à se défendre elles-mêmes. Une histoire de société, sûrement ?

« Je me suis toujours dit qu’il était bon pour chacun de savoir se défendre un minimum, oui. Et elle parle de personne qu’elle connait, mais toi, tu es déjà parti plus loin. J’ai fait de la self-défense quelques années et maintenant je pratique d’autres sports de combat… Si tu veux, je pourrais te montrer ça. Tu continues de sourire de bon coeur. Ça me ferait plaisir et puis… je pense que ça me rassurera un peu aussi. »

Parce que oui, tu n’as absolument pas envie de la savoir en danger ou de ne pas pouvoir débarquer assez vite pour la sortir d’un mauvais pas. Et tu en finis avec ton repas, finalement. Tu viens attraper ton café en laissant tes yeux vagabonder autour de vous. Quand tu reviens à la jeune femme, tu as comme ce tic de reprendre un sourire doux, certains diraient adorable.

« Si ça te tente, on pourra regarder si on trouve un créneau dans ton emploi du temps pour ça. Moi, je devrais pouvoir m’arranger avec le travail selon le moment de la journée. »
Askel O'Hara
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Askel O'Hara


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Tu y as déjà songé. A essayer d’être … oui, plus forte. Tu n’es pas une enfant, et tu n’es pas non plus ce qu’on peut appeler une femme fragile. Tu as ton petit caractère, Askel, tu n’es pas une super-héroïne, en revanche, mais tu n’es tout de même pas du genre à te laisser faire. Le problème réside dans la vie que tu mènes. Tu n’as le temps de rien, parce que tu bosses, encore et encore, pour maintenir le rythme de vie que tu as choisi. Le souci, c’est que tu n’es jamais parvenue à faire plus que ce que tu fais. Des petits boulots. C’est tout ce que tu as. Tu ne t’en plains pas, tu n’es pas malheureuse dans ta vie, mais tu es consciente quand même d’avoir une situation bancale, instable, et surtout fragile. Si tu dois te battre, c’est pour préserver ça, quand un boulot disparaît de ton emploi du temps, tu t’acharnes à essayer de le remplacer le plus rapidement possible, quand d’autres prendraient au moins le temps de souffler. Tu crains de tout perdre. De chuter. D’être à la rue, et de ne plus pouvoir vivre. En fait, c’est l’une de tes grandes craintes dans la vie : te retrouver à la rue, sans le sou.

« Mh, marché conclu ! » Tu annonces, avec un léger sourire. Du moins, tu vas essayer de te tenir à ça, oui, de t’en rappeler. S’il propose, c’est qu’il le souhaite, tu n’as pas à craindre de le déranger. En un sens, c’est logique, tu vois, mais ça rejoint un peu dans pensée quand au fait de te retrouver sans rien, tu crains toujours le regard des autres. Tu n’as aucune espèce d’envie d’attirer sur toi une once de pitié, et surtout, tu refuses que les gens se sentent une quelconque obligation vis-à-vis de toi, juste parce qu’à leurs yeux, tu passes pour une pauvre fille seule, malheureuse, fatiguée. Ce n’est pas ce que tu es. « D’accord, je le ferais ! » Et en fait, Askel, toi qui aimes planifier, et qui ne remet jamais rien au lendemain, tandis qu’il continue de te parler, et que tu l’écoutes, tu viens directement attraper ton téléphone pour écrire rapidement ce fameux SMS avec tes horaires, jour par jour, avant de l’envoyer, et de reposer le smartphone sur la table. « Ce n’est pas gênant de toute façon, je peux aussi prendre les transports pour rentrer, et puis, tu sais, je pense que tu lui as pas mal fait peur, je doute qu’il ose recommencer. » Ah, Askel. Tu essaies probablement bien trop de voir le bon côté des choses. Si on te demandait d’imaginer la vie dans son ensemble, les choses seraient clairement bien plus simples, c’est certain.

« Oh je … » Rappelles-toi, Askel. Ce qu’il vient de dire. Tu étais résolue à respecter ça, et pourtant, tu allais déjà recommencer à lui dire qu’il n’était pas obligé de faire et que tu pouvais aisément te débrouiller comme une grande pour apprendre auprès de quelqu’un. « Si tu as du temps pour ça, pourquoi pas. » Mieux. Bien mieux. Visiblement, tu lâches un peu de lest, et tu te rends compte aussi que ça fait du bien, d’être plus naturelle face aux autres, de te délester de ta trop grande retenue. « En règle générale, je suis disponible le soir, parfois, c’est peut-être un peu tard, c’est plus … en soirée, mais. Si tu veux, à ce moment-là, ça me va. » Sur ton temps libre du soir, quoi, quand tu as enfin terminé de bosser, et que tu peux te reposer. « Tout dépends de l’endroit où tu veux ça, et de tes disponibilités, du coup. » Et tu viens terminer ton soda, rapidement. « Et puis … ça nous donnera l’occasion de discuter, en même temps, probablement, comme ça, ça fait une pierre deux coups. »

Yulian E. Strauss
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Yulian E. Strauss


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Clairement, Yulian, tu ne te vois pas la laisser seule face à ce type. Ce n’est pas ton genre, déjà, mais surtout ça ne te rassure pas. Et tu vois, quand tu entends sa réponse, alors qu’elle se persuade que cette petite intervention du jour aura suffit, tu te rends compte que tu as d’autant plus envie de tenir cette parole que tu viens de lui donner. Tu as vu les yeux de l’homme. Tu as senti ce truc en lui… maintenant, tu mettrais presque ta main à couper que ton collègue va te ressortir un dossier à son nom.

Du coup, tu l’écoutes et tu la laisses répondre sur le sujet, c’est vrai. Parce que tu fonctionnes comme ça, toi. Ce n’est pas parce que tu es en désaccord que tu t’imposes, bien au contraire, mais quand elle en finit, tu te refuses de la laisser se faire berner par un type de ce genre. Lentement, sans la quitter des yeux, tu viens répondre sur un ton aussi sérieux que calme :

« Je ne lui ai pas fait peur, aujourd’hui, Askel. Je l’ai juste dévié de son idée première. Un type qui a peur, soit il se rebiffe contre moi en tentant de se faire passer pour la victime, soit il part en courant. Cet homme-là m’a regardé dans les yeux avant de faire demi-tour. Il était probablement plus frustré qu’apeuré. Tu te rends bien compte de tes paroles et du fait que ça puisse largement l’angoissée, alors tu viens serrer brièvement ses doigts, comme elle l’a fait plus tôt. Je ne dis pas qu’il va t’agresser, mais prends son cas au sérieux. De toute façon, je viendrai te chercher. »

C’est décidé. Et quand tu décides quelque chose de la sorte, c’est à 99% certain que tu vas t’y tenir toujours. Le pourcent qu’il reste, ce sont les aléas de la vie, surtout de ton job. C’est aussi pour cela que tu viens finalement lui parler d’auto-défense. Encore plus pour cette raison que tu te proposes toi-même dans le rôle de celui qui lui enseigne les bases. Si elle veut demander à un autre, tu la laisseras faire mais… ouais, tu ne seras pas serein pour autant.

« Le temps ça se trouve, je ne m’en inquiète pas. Que tu lui réponds, avant de l’écouter chercher un créneau qu’elle aurait de dispo. Et là, mon vieux, il y a une expression lumineuse qui s’inscrit sur ton visage, comme si tu étais touché par la grâce divine. Parfait ! Tu pourrais venir dîner à la maison, et quand Lizzie sera au lit, on pourra s’entraîner dans la pièce que j’ai gardé pour le sport ! »

Et si tu t’écoutais un peu, Yulian, tu prévoirais ça déjà pour ce soir ou demain, parce que tu es un type passionné qui se lance toujours à corps perdu dans ses activités. Cette fois-ci, pourtant, tu n’es pas seul maître à bord, alors tu te contentes de cet immense sourire pour elle, alors qu’elle résume plutôt bien ce que tu penses.

« C’est ça. Le dîner pour faire connaissance et la soirée pour s’entraîner. S’il est trop tard, je pourrai toujours te ramener chez toi en voiture. Oui, tu as toujours réponse à toi, c’est ton esprit d’organisation qui veut ça. En plus, tu connaitras déjà la maison, donc ça restera une zone où tu te sentiras en sécurité, j’espère. »

Et c’est en proposant tout cela que tu te rends compte de ce à quoi ça peut ressembler de l’extérieur. Tu as un instant de flottement, et tes lèvres commencent à articuler le fameux “je suis désolé” qui revient bien trop souvent chez toi, mais Lizzie apparaît au même moment en courant non pas vers toi, mais vers la brune pour avoir un câlin.

« D’ailleurs, tu verras rapidement que je suis toujours le plus franc possible, alors, vraiment Askel, si un jour tu as un doute sur mon comportement, n’hésites pas à me demander ce que j’ai en tête, d’accord ? Et tu es tout à coup nerveux, comme… un ado devant la première fille qu’il approche. »
Askel O'Hara
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Askel O'Hara


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Tu as bien trop tendance à penser que les choses vont s’arranger facilement, Askel. Pour toi, cette histoire est terminée, parce qu’un agent du FBI s’en est mêlé. Tu supposes simplement que ce pauvre garçon a eu bien assez peur de ce qu’il pourrait risquer, s’il recommençait, et puisqu’il n’a pas eu la moindre explication sur la nature de tes relations avec Yulian, tu te dis même qu’avec un peu de chance, il a pensé que vous étiez ensemble. Oui, en clair, tu t’appuies sur ce genre de choses pour penser, sincèrement, que ça ne se reproduira pas, ou du moins, que ça n’ira clairement pas plus loin que ça. Ce serait stupide de sa part, n’est-ce pas ? De tenter autre chose avec toi. Le truc, ma mignonne, c’est ce que tu oublies que parfois, l’Homme est stupide au point d’ignorer les risques et certaines limites, et ça, Yulian se charge de te rappeler, de façon douce et délicate, mais tout de même. Selon lui, son intervention n’aura probablement pas suffi, toujours selon lui, il ne lui a pas réellement fait peur, il n’a fait que l’empêcher de t’enquiquiner aujourd’hui, et c’est censé signifier qu’il va probablement recommencer. Sauf que toi, tu refuses de vivre dans la peur, tu n’es pas comme ça. Une autre fille aurait probablement fait quelque chose pour l’esquiver, aurait même démissionner pour ne plus jamais avoir à faire à lui … toi, tu es bien résolue à continuer de vivre et de travailler normalement. « Je ferais en sorte de l’ignorer, et de l’éviter au maximum. » Autrement dit, de ne pas te retrouver seule avec lui, de ne pas lui adresser la parole de toi-même, bref, tu vas simplement faire comme si ce type n’existait pas, en espérant que ça suffise. « Tout ira bien, ne t’en fais pas. » Et tu essaies même toi-même de rassurer ton sauveur du jour, tiens … Le monde à l’envers, avec toi, Askel.

Cela dit, tu acceptes qu’il puisse te donner des cours. C’est surement quelque chose que tu aurais dû faire depuis un bon bout de temps maintenant, surtout par rapport à ton appartenance à l’Agence, alors, oui, si tu en as l’occasion, tu te dis que ce sera une bonne chose et tu es même déjà en train de proposer des créneaux durant lesquels tu es entièrement disponible, pour ne pas risquer d’être prise pour le boulot à ces moments-là, ou appelée pour on ne sait quelle raison. « Oh, et bien … Oui, c’est une bonne idée. » Et tu vois, Askel, une proposition pareille, de la part d’un homme, juste après la démonstration écœurante que tu as eue aujourd’hui, ça devrait probablement te rebuter. C’est ton employeur, il te parle de rester avec lui, seul à seul, en dehors du cadre de ton boulot. Cet entraînement, ça ne pourrait être qu’une excuse, tu en as entendu des femmes, prétendre que les hommes, c’est tous les hommes, et qu’ils ne pensent qu’à « ça ». Pourtant, en l’occurrence, tu te sens bien incapable d’avoir des doutes de ce genre sur Yulian. Déjà parce qu’il t’a tiré d’un mauvais pas, ensuite parce que tu le sens à la fois doux, respectueux et gentil. Tu as l’impression que tu n’as juste pas à avoir peur de lui … que tu peux tout bêtement lui faire confiance, malgré le fait que tu ne le connais absolument pas. Du moins, pas encore. « On fera comme ça, alors ! On peut … se dire mh, la semaine prochaine ? Comme ça, tu as le temps de t’organiser, s’il le faut ? Je suis toujours disponible, en soirée, moi. » Y compris ce soir. Et demain soir. Et tous les suivants, en fait.

Tu entends finalement la petite voie de Lizzie qui se rapproche, à peine le temps de te retourner, elle est déjà là, elle court vers toi, avec les bras tendus et toi, tu viens simplement l’attraper pour la hisser sur tes genoux, face à la table, en tirant son repas à elle, qui à potentiellement bien refroidi, afin qu’elle l’ai à sa disposition. « Tu n’as plus faim ? » Que tu lui demandes, tout doucement, à l’oreille. « Même pas pour le dessert ? » Et c’est le fameux yaourt à boire la paille que tu viens lui agiter sous le nez, avant de d’entreprendre de lui ouvrir en plantant la paille dedans quand elle le réclame. Ce n’est que lorsqu’elle vient le prendre entre les mains pour le boire en silence que tu relèves à nouveau le nez. « Ça me va la franchise, vraiment, je préfère. » Même si tu as conscience que, parfois, trop de franchise, ça peut vite être bizarre. La preuve, tu t’es sentie … gênée, peut-être au départ, mais au final, tu sens que tu pourras t’y faire. Et c’est rassurant, en un sens. « Promis, je demanderais. »

Tout en maintenant la petite contre toi, d’une main, pour éviter qu’elle ne bascule, tu viens attraper ton téléphone, et tu ouvres l’agenda, dont tu te sers occasionnellement pour noter certaines choses, voir plus rapidement ton emploi du temps. « Je t’ai envoyé un accès à mon emploi du temps, d’ailleurs, ce sera plus simple que tu l’aies, tu auras accès aux changements en temps réel … au cas où ça change au restaurant, ou … enfin, ça me parait plus pratique comme ça, vu que visiblement, on va peut-être se côtoyer un peu plus que prévu. »

Yulian E. Strauss
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Yulian E. Strauss


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Tu regardes la petite filles aux cheveux bouclées et au sourire immense courir vers vous. Ca ne te fait pas de mal de la voir se jeter dans les bras d’Askel, bien au contraire. Tu aimes ton enfant, Yulian, mais tu as cette crainte d’être bien trop le centre de son monde. Parfois, tu te demandes si tu ne devrais pas plus la sociabilisée, la laisser avec d’autres personnes de confiance. Dans le fond, c’est toi qui a peur, autant qu’un malheur arrive qu’elle t’oublie. C’est con, hein, comme peur ? Pourtant tu n’arrives pas à te l’arracher. Tu ne te sens pas légitime pour être son père, sûrement.

Enfin bon, tu laisses la gamine s’installer sur les genoux de sa future nounou et vous en revenez à votre discussion autour de ces cours d’auto-défense. Et tu vois, pour une fois tu prêtes vraiment attention à la manière dont elle formule sa proposition. Tes lèvres s’étirent sur un sourire presque amusé, légèrement moqueur, et tu reprends.

« Moi, je suis déjà organisé, et toi tu es libre, autant commencer vite, histoire que tu puisses remettre cet homme à sa place si besoin. Tu réfléchis un instant, et tes instincts de papa poule toujours préparer pour accueillir un régiment reviennent. Je te ferai une salade de pomme de terre, spécialité de la famille Strauss ! Tu manges de tout ? »

Ah bah oui, hein, tu es prêt à lui faire découvrir tes origines et ce qui rythme vos dimanches midis ! Tes yeux suivent la petite qui acceptent son dessert et finalement, tu continues de parler à propos de cette franchise qui l'auréole et qui est bien utile quand on te connait. C’est simple, hein, tu es tout bonnement incapable de mentir. Quand tu t’y essaies, tu rougis si fort que c’est écrit sur toi. Tu espères que la jeune femme osera s’en servir, si ça te permet de la mettre à l’aise et en sûreté à tes côtés.

« Oh ? Tu attrapes ton téléphone pour regarder la notification que tu as reçu, et tu ouvres l’agenda partager. Avec rapidité, tes yeux passent dessus, tu notes les différents jours où le nom d’un restaurant est indiqué, puis plus généralement tu repères les espaces libres dans les cases. Tu travailles vraiment beaucoup. Que tu reprends lentement, en reposant ton téléphone bloqué sur la table. Je vais veiller à ce que tu ne te fatigues pas trop ! »

Ouais, tu viens littéralement de te donner cette nouvelle tâche. C’est tant mieux parce que tu as déjà commencé par l’inviter chez toi. Au moins, tu pourras veiller à ce qu’elle mange bien. Ensuite, en vous entraînant, tu garderas un oeil sur sa fatigue et l’énergie qu’elle dépense. Honnêtement ? Si tu peux la faire dormir chez toi, de temps à autre pour être certain qu’elle souffle, tu le feras certainement.

« Bon, Lizzie, on va à la grande salle de jeu ? Tu finis par proposer en rassemblant tous vos plateaux sur un seul, alors que la petite a enfin fini son repas.
-Ouiiii ! Akel, Akel, tu viendras jouer avec moi ?! »

Ca te fait rire, ça, tiens. Tu finis par tout récupérer et aller le jeter et quand tu reviens vers les deux jeunes femmes, tu as ce réflexes adorable de tendre une main à chacune. Si Lizzie comprend la proposition, elle se jette sur toi et tu la réceptions d’un bras sous tes fesses contre ton torses, tu laisses Askel choisir si elle accepte ta main pour se remettre sur pied, telle une princesse que tu souhaites accompagner.

« En route, douce demoiselle ? Que tu lui lances, d’une voix chaleureuse. »
Askel O'Hara
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Askel O'Hara


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Date d'inscription : 26/07/2020

   
Bon, aller, Askel. Tu peux l’avouer, non ? Il est mignon. Ouais. Mignon, c’est le terme exact, celui qui, subitement, te passes par la tête alors que l’observes, et que tu l’écoutes. D’ordinaire, c’est le genre d’adjectif que tu utilises pour un enfant, parce que tu le trouves beau, adorable, parce qu’il te fait fondre. Tu n’as que rarement pensé d’un homme qu’il était … mignon. Ou alors des hommes totalement inaccessibles, comme, ces acteurs, et personnalités que tu suis sur Instagram pour rincer l’œil, comme n’importe quelle fille de ton âge, sans doute. Mais dans ta vie ? Jamais. Alors oui, Askel, c’est assez exceptionnel pour être noté et mentionné, tu vois.

« Ça me va. On peut commencer vite ! Demain ? » Tu as radicalement changé d’attitude, par rapport à votre première rencontre. Plus à l’aise, plus souriante, tu oses même proposer des choses, sans crainte de gêner, ou de ne venir t’imposer. Visiblement, tu commences à comprendre comment les choses font fonctionner, entre vous deux, et ça te plait pas mal comme ça. « De tout, oui, je suis pas vraiment difficile. » Et tu omets évidemment, de préciser que, de toute façon, quand on passe par des moments difficiles niveau finances, comme pour toi, à une certaine époque, on oublie le concept même d’être difficile, en fait.

Tu finis par sourire, tu le laisses examiner ton emploi du temps, que tu viens de lui envoyer, tu oublies, parfois, de le mettre à jour, mais, tu te dis que le fait que Yulian puisse y avoir accès te motivera à y faire un peu plus attention. Au final, ça vous servira à tous les deux. « On me le dit souvent … mais si tous mes employeurs étaient comme toi, ça faciliterait grandement les choses. » Des gens aussi gentils. Compréhensifs. Patients. Conciliants. C’est certain que ça ne court pas les rues, encore moins dans ton ta liste d’employeurs, vois-tu.

A la proposition de Yulian, tu restes un instant à l’observer tandis qu’il rassemble les plateaux. Un sourire vient de nouveau s’installer sur tes lèvres, lorsque la petite s’agite, pour te demander de jouer avec elle. « Je veux ! Tu vas me montrer tes jeux préférés ? » Que tu demandes, alors qu’elle est déjà retournée du côté de son père et ce que ce dernier vient de la hisser dans ses bras. C’est une image que tu trouves particulièrement belle, sur le moment, et tu l’imprimes, tu la gardes dans un coin de ton esprit comme tu le fais tout le temps avec les choses, ou les moments, que tu trouves jolis, dans la vie. Généralement, tu finis par en faire un croquis, un dessin, que tu gardes, et que tu postes sur tes réseaux. Tu trouves ton inspiration partout.

Tu avises cette main, finalement, qui t’es offerte et si tu hésites certes quelques secondes, tu finis quand même par venir accrocher tes doigts à ceux de Yulian, pour te redresser, et le suivre. Les suivre tous les deux.

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